I hate...
Nan, nan, titre trompeur, je suis pas en train de vous ramener ma mélancolie à la con. C'est juste que...
Rah, mais c'est quoi cette fin? Le livre commençait si bien.
Plus glauque, plus sombre, toujours ce coté enquête policière que j'aime tant. Deux/trois longueurs de temps en temps, mais pas de quoi en chier un nain poilu. Plus d'histoires à l'eau de rose, c'était bien aussi! Juste une scène dans une chambre que j'ai ma foi beaucoup apprécié...
Bref, jusqu'à la page 738, j'adore! Le livre se détache un peu de la série, mais ça reste toujours frais, on retrouve toujours l'habituel "jamais il n'a été autant [...]". Le héros semble moins chiant que dans les deux derniers volumes, c't'une bonne chose. (Ouais, j'aime plus pas le lunatisme) Les deux secondaires se frittent un peu moins, mais ils se frittent toujours! Bien, bieeeen.
Mais pourquoi, monde cruel, cette fin que je redoutais tant, et que je hais? T.T (damned)
On me dit dans l'oreillette qu'en fait c'est un conte de fées.
Ah merde.
On m'prévient jamais, moi.
(Vous remarquerez que j'ai pas fait de spoil sur l'histoire, hein! Ce qui ont pas lu encore (et qui lisent ce "blog", ce qui réduit drastiquement le nombre de "non-lecteurs") ne seront donc pas déçu en voyant une quelconque révélation.)
((Awé, j'parle de Barry Topper, forcément, hein... Qui d'autres.))
PS : allez je dévoile un regret : pourquoi Harry est pas foutu de crever cette connasse d'Ombrage? u.u