les lettres qui s'effacent...

Ce soir, tu es venue tu fus le soleil de ma soirée.
Tu m'inspires ici mes sentiments les plus gothiques qui soient, je dois les libérer sur ton blog, c'est plus fort que moi.
Je suis triste, je pleure, car tes mots ont été si durs.
Tu ne comprends probablement pas ce que je ressens, c'est injuste! Pour quoi te moquer ainsi de moi alors que je n'ai jamaiiiiiis rien fait de mal dans ma vie?
Je hais le monde, la vie, je vais donc m'auto-flageller, et reprendre la cigarette!
Et aussi prendre un rendez vous chez nip/tuck pour m'agrandir mon pénis, qui comme tu l'as si bien remarqué dépasse à peine la longueur d'un ongle! (pauvre clem, je lui ai fait endurer tant d'horreurs (peut être le seul passage pas ironique de cet article), je suis si soulagé qu'elle ait pu se confier en ta si noble personne).

Non, sérieux, tu m'as manqué, Julie. =')
Bientôt le skyblog!

Ce soir, elle m'hurle de ne pas le faire.
Que c'est mal.
Qu'il y a une chance (sur des trilliards), que je regrette.

J'ai décidément eu beaucoup de mal avec les "the end". Même si je sens que celui-ci sera le plus beau de tous.

Encore un orgasme mental, chère collègue serpent. ;-)

Ce ne sera donc pas pour ce soir, chères avides spectatrices qui l'attendiez au plus vite.
Bientôt nouvelle adresse, loin de gens qui ne m'intéressent plus, et qui par ailleurs n'auront plus en consolation le soin de me juger.

PS : ceci est un joli prélude, nan? :)

Nan, nan, titre trompeur, je suis pas en train de vous ramener ma mélancolie à la con. C'est juste que...
Rah, mais c'est quoi cette fin? Le livre commençait si bien.
Plus glauque, plus sombre, toujours ce coté enquête policière que j'aime tant. Deux/trois longueurs de temps en temps, mais pas de quoi en chier un nain poilu. Plus d'histoires à l'eau de rose, c'était bien aussi! Juste une scène dans une chambre que j'ai ma foi beaucoup apprécié...
Bref, jusqu'à la page 738, j'adore! Le livre se détache un peu de la série, mais ça reste toujours frais, on retrouve toujours l'habituel "jamais il n'a été autant [...]". Le héros semble moins chiant que dans les deux derniers volumes, c't'une bonne chose. (Ouais, j'aime plus pas le lunatisme) Les deux secondaires se frittent un peu moins, mais ils se frittent toujours! Bien, bieeeen.

Mais pourquoi, monde cruel, cette fin que je redoutais tant, et que je hais? T.T (damned)
On me dit dans l'oreillette qu'en fait c'est un conte de fées.
Ah merde.
On m'prévient jamais, moi.

(Vous remarquerez que j'ai pas fait de spoil sur l'histoire, hein! Ce qui ont pas lu encore (et qui lisent ce "blog", ce qui réduit drastiquement le nombre de "non-lecteurs") ne seront donc pas déçu en voyant une quelconque révélation.)
((Awé, j'parle de Barry Topper, forcément, hein... Qui d'autres.))


PS : allez je dévoile un regret : pourquoi Harry est pas foutu de crever cette connasse d'Ombrage? u.u

Semaine pas trop mauvaise. Surtout la fin, baurdeul di marde! Je suis repassé en mode semestre 1 en allant presque plus en cours, ayant perdu mes joyeuses et folles résolutions faites y'a trois semaines. Mais bon, on y croit, après les vacances, il est fort probable que je puisse peut être reprendre un rythme scolaire à peu près régulier. (C'est à dire, entre "may" et "might", je prend "might", merci Sebaaaaastien)

En fait, tout ce qui fait que la semaine s'est bien finie se résume à une putain de clope. Ouais, je l'ai savourée celle là... Presque aussi tremblotante que la première avec Naryomed.

Maintenant, je me retrouve paumé chez mes vieux, à plus savoir quoi foutre, à plus pouvoir fumer (pas que je leur cache, mais je sais qu'ils aiment pas, j'les emmerde déjà bien assez ^^). C'est beau la picardie profonde... En plus j'ai laissé la Wii, ce qui m'empeche de jouer comme un con dans une salle (ce qui a fait rire mon voisin d'en face à Amiens, sisi, l'enfoiré).

Ah pis j'ai fait sauté un pont aujourd'hui.
Que j'oublie ce mois d'octobre à la con, et que je passe à autre chose. (ouais, au mois de novembre ;-))

Résolution du jour : perdre ma naïveté qui me fait gober tout ce que quelqu'un peut dire, pour mieux changer d'avis du jour au lendemain. Arrêter de bousiller tout ce que je touche, comme le fait mon cousin avec mes anciens jouets.

Et pis faut que je change le "design" de ce coin. Du violet.
Ouais, pourquoi pas?

Je mens aux gens.
Je leur cache parfois des petits détails, sans importance surement, mais qui pour moi en ont, car je me fais des films sur leur réaction.
J'ai peur des réactions des autres, de baisser dans leur estime. Avant je ne parlais d'ailleurs jamais, je gardais tout dans ma tête, je réfléchissais, j'analysais, je dressais des bilans sur les gens.
Aujourd'hui, je daigne ouvrir ma gueule, et je découvre que je n'aurais pas du parler, comme toujours.
Je ne suis plus la bonne oreille qui peut tenir tous les secrets, j'ai besoin de parler aux autres.
Je ne pense pas que les secrets soient utiles.
Si on cache des choses aux autres, c'est qu'à la base il y a un problème. Dire qu'il n'y a rien n'est qu'hypocrisie.
Avant nous nous disions tout, comme un vrai groupe, c'tait l'pied.
Dès le début de cette année, les gens ont commencé à se mentir.
Ca n'a pas manqué, j'ai menti aussi, et pour sauver ma conscience, je me suis dit que j'étais au milieu.
Je fais filtrer d'un coté et de l'autre en tentant d'éviter que ça pète un jour.

Ca marche.
Enfin, ça marchait.

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Aujourd'hui, ce ne sont plus les paroles que je cache, mais ce que je ressens. Je n'ai jamais explosé de ma vie. Jamais une grande crise de colère. Des larmes parfois, et ça passe.
On remet à plus tard.
Je ne sais pas comment je réagirais si j'explosais.
Ce que j'imagine d'ailleurs me fait peur. Et pourrait même faire peur à mes amis.
Donc à chaque fois, je met dans un paquet, et j'essaie de soutenir les gens que j'aime.

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Parfois je mens.
Je mens pour ne pas être déçu par les gens qui comptent pour moi.
Pour continuer d'espérer qu'ils vont me soutenir, et me souhaiter du bonheur.
Même si je suis persuadé qu'ils ne le feront jamais.
Voila mon masochisme.

Ma crise d'angoisse, c'était que je craignais que tout s'effondre autour de moi.
Cette semaine m'a montré que c'était en cours.

Ca t'apprendra à rêver, connard.

Tu es Double Face, si ma vie était Batman.
Par tes deux faces, tu me fascines.
On peut pouvoir te connaitre à 200%, et encore tu nous surprends.
Ta possessivité est une vertu, mais peut paraitre parfois une prison.
Ton excessivité fait ton charme, mais me fait mal.
Chaudes attentions mais froide attitude.

Je voudrais tout oublier, mais je ne peux m'empêcher de t'en vouloir.
Je voudrais que tu partes, mais il est impossible de bruler ce lien.

Pour toute les choses que tu m'as dites en une semaine, je pourrais te haïr à vie...
Pourtant je t'adore toujours.

Contrairement à toi, il m'est impossible de songer à sacrifier une amitié...
Et il m'est impossible de m'excuser, car je ne me sens pas du tout en faute, ayant été entrainé malgré moi dans cette histoire...

Aujourd'hui, je me sens gris...

Comment on en est arrivé à se dire ces choses?

Maintenant je sais. Comme j'ai été stupide. Tsss.

Merci pour cette journée sous le signe de Tinky Winky, où on a passé pour des débiles auprès des pauvres habitants de la ville d'Amiens.

Ouais, elle et moi, on a une manière de se fritter assez originale.

Ah, et quand tu veux pour ta revanche, afin que t'oublie ta branlée légendaire au billard!

Ouais, bonne journée en gros. Et j'pèse mes mots, après ce week end assez difficile.

Je rencontre une personne super.
Je m'entend à la folie avec elle, on délire à mort, on s'envoie des ptits mails gentils.
Amitié ou plus , je m'en fous, je suis bien, j'aimerais bien la voir plus souvent, elle aussi.

MAIS PUTAIN, pourquoi y'a toujours une COUILLE au milieu!?

Ce truc qui te fout un interdit en pleine gueule avec menaces, et qui fait peur à l'autre!
Bordel, j'en ai marre! Pour une fois, est-ce que chacun pourrait se mêler de son cul et vivre sa propre vie!?
Y'a pas deux mondes, deux sphères lié par un point infranchissable.

Texte à sang chaud : demain ça sera passé, mais ce soir, j'arracherais volontiers la tête de quelqu'un. (Qui est sur de bien agir en prime, mais qui fait souffrir deux personnes)

Nous ne sommes pas des pièces sur un échiquier.

Merci de pas avoir oublié ce message...
Ce que j'ai redouté pendant plus d'une année.
Tu m'as manqué.
Terriblement.

J'y t'adore.
Je débarque bientôt chez toi.
Et cette promesse, je la tiendrai.

On les oublie!
Ben ouais...
Déjà : ne plus fumer : ok, loin de certaines personnes, c'est fastouche.
Mais voir 99% de la populace de la fac, dont onee-san fumer, c'est trop dur. (faiblesse? owi)

Ensuite : savoir garder le contact avec quelqu'un : totalement foiré, je dirais, je compte plus le nombre de personne que j'ai daigné mettre lâchement de coté ces vacances.
Chuis un associable né.

Enfin : cesser de tomber sur des grosses tarées : Onee, t'as raison, j'dois vraiment les attirer. (ouais, j'ai quand même réussi à provoquer deux TS, car la demoiselle se faisait tout un film alors que je l'avais jamais vue, et que je lui ai dit que je voulais pas)

Dans un sens je me sens vivant. (pas l'bon, bordel)
4ème résolution à faire : me trouver une fille gentille, folle mais pas trop (mais pas trop peu quand même), et qui n'ait pas des pulsions de polygamie.
Allez, on s'y emploie! (et on y croit, comme un con)

PS : sinon, score de 155 sur l'échelle de "vertus", j'ai progressé de 20 en un an, powa.